
Qui suis-je ?
Mais qui est Julie Dubois ?
Dans les lignes qui vont suivre, vous trouverez le résumé de mon parcours de vie.
Mon enfance
Mon nom est Julie Dubois. Je suis née en 1979 près de Grenoble. J’ai un frère et des parents particulièrement scientifiques cartésiens et profondément athées. Nous habitons à la campagne, une vie paisible. En 1987 mon père change de travail et nous changeons de région, pour l’Alsace. J’ai 8 ans et je découvre de nouvelles personnes et une nouvelle culture. L’école n’est pas mon endroit favori et mon adolescence se focalise sur l’équitation plutôt que sur un mal-être grandissant. Je suis désespérément en quête de la réponse à la question fatidique « quel métier veux-tu faire plus tard ? ». N’ayant même pas le début d’un commencement de piste je fini par me résoudre à prendre une voie qui semble correspondre à un idéal familial : la voie scientifique. Mais cela n’aura duré qu’un court instant, le temps de m’emmener à l’autre bout de la France à la Roche-sur-Yon afin d’expérimenter pour la première fois la vie loin du domicile parental.

Mon envolée du nid et mon crash

Nous sommes en 1999 à La Roche-sur-Yon. Je tiens un mois dans l’IUT avant de jeter l’éponge. J’arrête donc mes études supérieures pour commencer ma formation de monitrice d’équitation. Formation qui me prendra deux ans. Premier cheval, premier amour. En 2001, j’ai mon diplôme en poche. Premier chien. La découverte de la vie.
Mon cheval, Paprika, a de gros soucis au niveau de l’un de ses membres. Il est diagnostiqué boiteux par entorse et tendinite relativement chroniques provoquant une arthrose sévère. On me fait comprendre qu’il boitera souvent et ce sera de pire en pire. Sur les conseils d’un ami, je décide de le confier à une association pour lui donner une retraite agréable. J’adopte donc un autre cheval, Fakir, très prometteur… mais entier (non castré). Le résultat est que je ne m’en sors pas du tout avec ce cheval, il me fait peur. Je trouve enfin un travail et je confie Fakir à mon ami pendant quelques mois. Ce travail est atrocement difficile physiquement donc je trouve un second travail. Nous sommes en été 2002, dans un village proche de Cahors, et je décide enfin de reprendre Fakir avec moi. Le jour suivant son arrivée au centre équestre il tombe gravement malade et le mois suivant je dois me résoudre à le faire euthanasier, après avoir été la témoin impuissante de ses terribles souffrances. C’est un très grand traumatisme pour la jeune adulte que je suis.
Ma reconstruction
Je rentre en Alsace, j’ai 23 ans et je ne veux plus entendre parler de chevaux. Je travaille ici et là pendant quelques années. Second amour. Second chien. Puis revoilà l’envie de travailler avec les chevaux. En 2006 je trouve un poste de monitrice à Nantua. Mon couple ne tient pas la distance, mais tant pis. Là-bas je craque pour une pouliche de quelques jours qui partagera ma vie pendant quelques années. Je la nomme Salsa. Je me rends compte que l’équitation telle que je l’ai apprise et telle que je l’enseigne a de grosse lacunes. Un an après je décide de me former en équitation comportementale.

Ma déconstruction
En 2007, je pars me former en équitation dite éthologique en Normandie, pendant 6 mois. Ici j’apprends beaucoup sur mes comportements dysfonctionnels avec les humains, mais je n’apprends pas à murmurer à l’oreille des chevaux. Je commence une lente déstructuration psychique. Qui se poursuivra pendant les 3 années suivantes. Je suis embauchée à Épinal dans un centre équestre spécialisé en équitation comportementale. Ici j’apprends beaucoup mais je continue ma descente aux enfers, version accélérée. Je touche le fond en 2010. Je ne sais plus rien, mon estime de moi est au fin bout de mes orteils.
C’est alors que je rencontre Unanim. Ce beau cheval noir vient dans ma vie et tombe malade peu après. Je quitte Épinal en 2010 et je le ramène en Alsace pour lui refaire une santé. N’ayant plus confiance dans le système vétérinaire, je me tourne vers la médecine alternative, et plus spécifiquement la Kinésiologie. Entre temps un petit chat est né et me choisi comme humain, je la nomme Praline.
Ma re-naissance
Ainsi me voilà entré dans le développement personnel ! Pour Unanim je franchis le cap, j’ose aller affronter mes démons personnels. Je découvre l’EFT et j’adore ce côté efficace et ludique à la fois. C’est un outil incroyablement facile à apprendre et facile à utiliser, j’adore. Je me forme. Puis j’ai envie aller plus loin dans l’accompagnement émotionnel, j’ai envie d’aider les autres. Je me forme en Coaching. J’apprends beaucoup, j’évolue beaucoup. Unanim va de mieux en mieux. Je suis consciente que mieux je vais et mieux il va. J’expérimente le chamanisme et je fais une quête de vision en Arizona dans le fabuleux canyon de Chelly, un lieu sacré des Indiens Navajos. Ce voyage est magique et terriblement éprouvant. Je vis une grande guérison avec le masculin. Ensuite je fais plusieurs expériences, un stage en communication animale puis en féminin sacré. Je rencontre mon troisième amour, Dominique, l’homme avec qui je vis aujourd’hui.

Mon ouverture
Dominique me fait découvrir mon ressenti, l’énergie, le monde du subtil. Je découvre les soins énergétiques puis j’ai besoin d’explorer la dimension physique, le corps, le toucher. Je me forme alors en massage holistique pendant un an. Pendant l’année qui suit je travaille à mon compte puis j’ai envie d’aller explorer d’autres horizons. Je trouve un poste comme assistant d’éducation dans un lycée. Me voici « pionne » pendant trois ans. De belles expériences et de belles rencontres dans ce lycée. J’y découvre également à quel point je suis sensible aux émotions des autres. J’ai même la possibilité d’initier les ados à la relaxation et l’EFT !

Dominique entame sa procédure de divorce et c’est 5 ans de galère. Lors de ces 5 années, je fais face à mes plus grosses blessures. Un gros nettoyage intérieur se fait. Mon premier chien nous quitte. Il est tant que je me sépare de ma jument. Et Mon second chien nous quitte a son tour. En janvier 2018 nous emménageons ensemble à Gunsbach avec nos deux chevaux et notre minette ! Nala nous rejoindra au mois de juin.

La révélation
Au printemps 2018 je découvre Dolorès Cannon et dévore ses deux livres, « les Trois vagues de Volontaires » et « les jardiniers de la Terre ». Les synchronicités se mettent en placent et je peux me former dans la foulée à la méthode QHHT après avoir vécu une séance pour moi. Je m’installe ensuite à mon compte comme praticienne en hypnose Quantique. Je deviens de plus en plus à l’écoute de ma guidance intérieure. En 2019 je découvre l’écologie intérieure que je trouve très complémentaire à mon travail en hypnose. En Novembre je suis présente à Cannes pour valider le niveau 2 avec Julia Cannon. Pendant cette formation je vis des transformations extraordinaires grâce à mes collègues praticiens ! Et en janvier 2020 je découvre l’Hypnose Introspective avec Antonio Sangio à Paris.
Les photos de cette page (sauf la dernière) ont été prises par la talentueuse Laurine Matt de Lmvisualart (https://lmvisualart68.wordpress.com)